Les recensements annuels des populations de poisons au large de la côte de Nouvelle-Ecosse ont révélé un résultat surprenant : le cabillaud atlantique et d’autres grands poissons prédateurs, dont les populations ont considérablement décliné au début des années 1990, semblent se remettre très lentement.
Ainsi, un écosystème dévasté par la pêche excessive au large de la Nouvelle Ecosse montre les premiers signes d’un rétablissement, d’après ce que suggère une nouvelle étude.
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Comme quoi lorsqu'on prend des mesures efficaces il y a des résultats même si c'est pas encore gagné loin s'en faut